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Au coeur de la voie lactée, il y a deux maisons : une pyramide en verre et une chaumière.
Pour un portrait de Thérèsa PLANE. Au coeur de la voie lactée, sous la planète étoilée, il y a deux maisons dont chacune a sa raison. La première est une pyramide de verre qui sert à y voir plus clair. La seconde est une chaumière qui permet d’imaginer au-delà de ce que l’on peut regarder. Ce jour-là, Thérèsa choisit la voie du milieu, juste entre les deux. De profil, un crayon à la main, Thérèsa parle de tout et de rien. Elle parle de ses désirs, de ses souvenirs. Le dédale des mots prononcés la conduit à rencontrer des personnages issus d’une histoire inconnue. Telle une image subliminale, la figure triangulaire d’une pyramide se découpe à l’horizon des images et des mots. Cette évidence ne paraît avoir aucune influence sur le cours de l’histoire. Et pourtant à la fin du récit, Thérèsa va s’interroger sur la valeur de ce qu’elle a raconté. Elle a le sentiment qu’un élément important lui a échappé, un élément qui serait la clé de ce qu’elle a pensé. « Comme s’il y avait des pyramides », dira-t-elle.
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Nyst Danièle, Nyst Jacques-Louis
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Jacques Louis NYST
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Jacques Louis NYST, Ronald DAGONNIER
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Frédéric BIANCHET
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Benoît HEUSE
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Alain LAHAYE
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Calcara
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Pepasaupa
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RTC - WIP
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1990 : Worldwide Video Festival du Kijkhuis, La Haye - Video Art Plastique, Hérouville-Saint-Clair
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1990 : Prix spécial du jury au Festival international du nouveau cinéma et vidéo, Montréal
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